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Billet de blog 1 octobre 2020

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En cette rentrée, la rédaction de Mediapart se renforce

Notre journal d’information en ligne compte désormais 200 000 abonnés et sa rédaction se réorganise pour offrir une information encore plus riche et diverse. Une offre vidéo tous les soirs, une responsable des questions de genre et de nouvelles recrues… Rapide présentation.

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Alors que la période de confinement a intensément bousculé nos rythmes de travail, la rédaction de Mediapart aborde la rentrée avec l’intention d’« ouvrir les fenêtres » face à l’air rance du temps présent. Ce slogan est celui de notre nouvelle émission vidéo « À l’air libre » (ALL), tous les soirs de lundi à jeudi.

Une offre vidéo quotidienne

Après un « pilote » en temps de crise sanitaire, durant le confinement et après, c’est désormais une équipe de sept personnes (assistées de techniciens de production de notre partenaire Small Bang) qui construit ce rendez-vous vidéo quotidien de reportages, d’entretiens avec « des gens du futur pour parler du futur », de regards « ailleurs dans le monde » ou de « retours sur enquête » de la rédaction. Aux côtés de nos journalistes Valentine Oberti, Mathieu Magnaudeix et Christophe Gueugneau, en plus d’Armel Baudet (chargé de la diffusion sur les réseaux sociaux), nous nous réjouissons d’accueillir Célia Mebroukine et Youmni Kezzouf (journalistes reporters d’images), ainsi que Martin Bessin (monteur vidéo).

Le reste de la semaine, outre «Ouvrez les guillemets», la chronique vidéo d’Usul et Cotentin chaque lundi, place à nos grands entretiens du « Studio » (chaque vendredi et dimanche) et à notre documentaire hebdomadaire (chaque samedi), en partenariat avec Tënk et Images en bibliothèques. On ne détaille pas plus, on peut en lire davantage ici.

Du côté de la rédaction écrite, notre journal a la joie d’accueillir en son sein de nouveaux journalistes, ce qui nous permet d’ajuster notre dispositif de couverture de l’actualité, en répondant au mieux à l’accélération du virus comme de la crise globale (économique, écologique, sociale, démocratique), aux désordres internationaux démultipliés et à la perspective de la prochaine élection présidentielle.

Une responsable éditoriale aux questions de genre

Lénaïg Bredoux, après une dizaine d’années au pôle politique, est désormais responsable éditoriale aux questions de genre (sur le modèle du gender editor du New York Times ou dEl Diario). Elle coordonnera le travail de nos journalistes et pigistes sur les discriminations de genre, la révolution féministe et les violences faites aux femmes, avec le pôle Enquête et le pôle Société.

L’objectif est de veiller de manière transversale à ce que le journal soit inclusif dans son traitement éditorial et dans son fonctionnement interne. En lien avec l’ensemble des services, et en concertation avec les journalistes, il s’agit que les sujets traités dans le journal « n’oublient pas » la moitié de la population, s’empare des problématiques spécifiques aux femmes et ne les invisibilise pas dans l’ensemble de la couverture.

La création de ce type de postes fait partie des recommandations régulières des rapports sur la place des femmes dans les médias. Mediapart se félicite d’être le premier média en France à mettre en œuvre cette initiative.

Plusieurs renforts à la rédaction

Ilyes Ramdani, ancien rédacteur en chef du Bondy Blog, nous rejoint au pôle Politique, dont la responsabilité est désormais assurée par Ellen Salvi, pour ausculter ce qu’il reste de la droite classique, et si celle-si est soluble dans le macronisme, permettant à Lucie Delaporte de se concentrer sur la couverture de l’extrême droite. Par ailleurs, Mathilde Goanec intègre aussi le pôle Politique pour suivre les mouvements politiques hors partis (abstention, « gilets jaunes », politisation dans les quartiers, etc.), tout en gardant un œil sur le Parlement et la façon dont sont relayées ces dynamiques par ses représentants (aux côtés de Pauline Graulle et de Fabien Escalona, qui suivent les gauches partisanes et théoriques).

Le pôle International s’enrichit, aux côtés de son responsable François Bougon, de Ludovic Lamant et de Rachida El Azzouzi, de l’arrivée parmi nous de Nejma Brahim, qui travaillera sur les migrations, ainsi que de celle de Justine Brabant, début novembre, qui suivra les questions militaires, et coordonnera le suivi de l’Afrique.

Tou·te·s trois intègrent notre rédaction, peu de temps après Khedidja Zerouali, qui, à l’issue de son contrat d’apprentissage, assure désormais le suivi de la crise sociale et de la jeunesse, avec Manuel Jardinaud qui rejoint également le pôle Économie et social, aux côtés de sa responsable Martine Orange, avec Dan Israel, Laurent Mauduit et Romaric Godin.

Enfin, Caroline Coq-Chodorge assure désormais le suivi des questions de santé et de crise sanitaire à temps plein, tandis que la couverture de l’actualité des discriminations est assurée par Camille Polloni, en remplacement de Louise Fessard. Elles prennent place au pôle Société, aux côtés de sa responsable Mathilde Mathieu, avec Faïza Zerouala et Jérôme Hourdeaux.

Renforcée, notre équipe (également composée de pôles Enquêtes, Écologie et Idées) s’est réorganisée afin d’approfondir au mieux son travail sur les violences faites aux femmes, les violences policières, les discriminations et le racisme, ou les enjeux migratoires. Et aussi de poursuivre ses enquêtes et ses révélations politico-financières, son décryptage des choix économiques actuels, son suivi au plus près la crise sociale, avec le renforcement de sa couverture des questions écologiques comme des mouvements politiques et citoyens, en France comme à l’étranger.

Une journée « Portes ouvertes numériques »

Par ailleurs, nous vous donnons rendez-vous le mercredi 2 décembre pour une journée de « Portes ouvertes numériques », en lieu et place de notre festival annuel, reporté puis annulé cette année en raison de la crise sanitaire.

Ce sera l’occasion d’échanger directement avec vous, dans l’esprit participatif qui caractérise et distingue Mediapart, ce journal totalement indépendant qui, il n’est jamais inutile de le rappeler, ne vit que de vos abonnements, sans recettes publicitaires ni subventions étatiques.